SABORDAGE
Debut de storyboard pour un film qui ne verra finalement pas le jour. 1 semaine de boulot pour rien? Un peu...
3D SUCK MY BRAIN
Cette semaine était consacrée à une formation sur Maya, un logiciel qui me rend déjà dingue car les possibilités semblent infinies, de plus il réduit potentiellement mes chances d'ètre au chomage plus tard, voire même de rejoindre Pixar un jour. Je m'enflamme mais c'est l'émotion. Voici donc des images et 2 vidéos de mes premiers pas dans le monde en relief pour de vrai.
Un endroit où j'aime aller
Le skate parc de Bruxelles juste derrière l'église de la Trinité, d'habitude beaucoup plus fréquenté qu'en ce soir de début d'hiver, la lumière y est justement magnifique en fin de journée, et les photographes de mariage ne s'y trompent pas, me rapelle de ces jeunes mariés qui ont posés dans le bowl, lui avec une planche de skate
empruntée au premier gamin sous le pied. véridique. Note aussi que le musée des beaux arts est à 300 mètres et que je n'y suis toujours pas allé.
THE IRATE GAMER SHOW
Chris Bores,un sympathique americain collectionneur fanatique de jeux NES teste les pires bouzes qu'il a pu acheter à une époque où une jolie illustration ou une license allechante nous faisaient courir au leclerc le plus proche dépenser les quelques billets en poche glissés par mamie; et celà sans se soucier une seule seconde de concepts comme le gameplay, la jouabilité ou le level design mais en exprimant juste d' un laconique : "c'est bien" ou "c'est nul" sans appel.
The IRATE GAMER ressort du placard pour les crucifier des jeux le plus souvent adaptés de franchises à succés ( retour vers le futur, les goonies, indiana Jones, les dents de la mer...) qui s'avérèrent déjà en leur temps plus calamiteux les uns que les autres.
Et c'est bien là tout le plaisir de the irate gamer show: voir des jeux execrables passés à la moulinette de Chris qui semble tout aussi frustré que nous l'étions à l'époque devant des jeux achevés à la va vite et truffés de bugs les rendants pour ainsi dire injouables.
Les test sont mis en scène en vidéo façon apologie du Do It Yourself, Chris souvent s'éloigne bien loin de son sujet initial (voire la scène où il part pisser en attendant que l'étoile magique remonte l'écran pour atteindre le personnage dans super mario 2, c'est tellement vrai!) mais on en attend pas moins tellement il semble s'amuser à nous décrire ces jeux d'un autre temps et à finir par les broyer à coup de marteau.
The IRATE GAMER ressort du placard pour les crucifier des jeux le plus souvent adaptés de franchises à succés ( retour vers le futur, les goonies, indiana Jones, les dents de la mer...) qui s'avérèrent déjà en leur temps plus calamiteux les uns que les autres.
Et c'est bien là tout le plaisir de the irate gamer show: voir des jeux execrables passés à la moulinette de Chris qui semble tout aussi frustré que nous l'étions à l'époque devant des jeux achevés à la va vite et truffés de bugs les rendants pour ainsi dire injouables.
Les test sont mis en scène en vidéo façon apologie du Do It Yourself, Chris souvent s'éloigne bien loin de son sujet initial (voire la scène où il part pisser en attendant que l'étoile magique remonte l'écran pour atteindre le personnage dans super mario 2, c'est tellement vrai!) mais on en attend pas moins tellement il semble s'amuser à nous décrire ces jeux d'un autre temps et à finir par les broyer à coup de marteau.
PRISON LOVE
Dans une prison reculée où les detenus ont appris à vivre en parfaite harmonie arrive un petit homme privilégié. Sa venue va mettre le feu aux poudres.
Film d'étudiant en 2ème année à La Cambre. D'après une adaptation libre de la Nouvelle d'Edgar Poe: Le diable dans le Beffroi.
prison love from Vincent Lefebvre on Vimeo.
Film d'étudiant en 2ème année à La Cambre. D'après une adaptation libre de la Nouvelle d'Edgar Poe: Le diable dans le Beffroi.
prison love from Vincent Lefebvre on Vimeo.
les yeux qui piquent
Ce soir, c'est le dernier soir où je peut "officiellement" travailler sur Prison Love.
Demain à la première heure, j'apporterai la bobine dans sa lourde boite de métal, enfin, le fichier quick time, pour le remettre dans les mains potelées d'Olivier qui transportera la sainte relique ainsi que tous les films d'étudiants dans son disque dur 1 Tetraoctet. Savoir qu'il transporte le fruit d'un an d'investissement multiplié par 40élèves dans un disque dur dans sa voiture, c'est une lourde responsabilité, et chaque année à cette période on peut l'entendre dans la nuit graver des copies de copies de films sur des dvd parceque "on sait jamais".
Il est bientot une heure du matin, le film n'est pas fini, ouh là non!
Mais l'heure c'est l'heure, ainsi est la règle: tel le condamné qui s'achemine vers la potence où l'attend son bourreau, mon film partira bientot vers le jury, entité silencieuse composée de gens qui pendant la scéance prennent des notes sur un petit carnet au lieu de regarder le film.
Il y aura deux versions de Prison Love, une pour le jury , et une pour le blog ou je pourrai terminer son et image à volonté. Ma director's cut en quelque sorte.
Je dis ça parceque contrairement à ce qui a été inscrit pendant quelques semaines, je suis pas sur de pouvoir mettre le film le 1er Juin en ligne, plutot le 7...ou le 8...Roh ça va on est pas à la Paramount ici.
Demain à la première heure, j'apporterai la bobine dans sa lourde boite de métal, enfin, le fichier quick time, pour le remettre dans les mains potelées d'Olivier qui transportera la sainte relique ainsi que tous les films d'étudiants dans son disque dur 1 Tetraoctet. Savoir qu'il transporte le fruit d'un an d'investissement multiplié par 40élèves dans un disque dur dans sa voiture, c'est une lourde responsabilité, et chaque année à cette période on peut l'entendre dans la nuit graver des copies de copies de films sur des dvd parceque "on sait jamais".
Il est bientot une heure du matin, le film n'est pas fini, ouh là non!
Mais l'heure c'est l'heure, ainsi est la règle: tel le condamné qui s'achemine vers la potence où l'attend son bourreau, mon film partira bientot vers le jury, entité silencieuse composée de gens qui pendant la scéance prennent des notes sur un petit carnet au lieu de regarder le film.
Il y aura deux versions de Prison Love, une pour le jury , et une pour le blog ou je pourrai terminer son et image à volonté. Ma director's cut en quelque sorte.
Je dis ça parceque contrairement à ce qui a été inscrit pendant quelques semaines, je suis pas sur de pouvoir mettre le film le 1er Juin en ligne, plutot le 7...ou le 8...Roh ça va on est pas à la Paramount ici.
La savonette
Ou pourquoi il ne faut jamais se cacher dans une cellule sans vérifier qu'il ne reste pas un gros portoricain à l'intérieur.
Quelques explications
Le travail animé de cette fin d'année consiste en une adaptation de la nouvelle d'Edgar Allan Poe
Le diable dans le beffroi que vous pouvez lire en cliquant sur le lien suivant: http://www.1001nuits.com/nouvelles/diableries/LeDiable/LeDiableTEL.htm
L'adaptation est libre au choix du réalisateur, l'époque, les personnages peuvent ètre changés, l'important étant de rester fidèle à la structure de l'histoire: société réglée comme une horloge, élément perturbateur, situation chaotique.
Mon film: PRISON LOVE
La prison X vit en harmonie: "récréation", repas, extinction des feux, les journées s'y déroulent toutes de la mème façon, orchestrées par l'annonce des hauts parleurs qui sonnent immuablement chaque activité à la seconde près. Les prisonniers ont trouvé une harmonie parfaite dans ce mode de vie où l'ambiance tiens plus de la colonie de vacances que du bagne de cayenne.
Jusqu'au jour où...arrive un homme d'état en visite, flanqué de ses 2 gardes du corps zelés et particulièrement abrutis, il va ruiner le fragile équilibre du pénitencier avec les conséquences qui s'en suivent.
Le diable dans le beffroi que vous pouvez lire en cliquant sur le lien suivant: http://www.1001nuits.com/nouvelles/diableries/LeDiable/LeDiableTEL.htm
L'adaptation est libre au choix du réalisateur, l'époque, les personnages peuvent ètre changés, l'important étant de rester fidèle à la structure de l'histoire: société réglée comme une horloge, élément perturbateur, situation chaotique.
Mon film: PRISON LOVE
La prison X vit en harmonie: "récréation", repas, extinction des feux, les journées s'y déroulent toutes de la mème façon, orchestrées par l'annonce des hauts parleurs qui sonnent immuablement chaque activité à la seconde près. Les prisonniers ont trouvé une harmonie parfaite dans ce mode de vie où l'ambiance tiens plus de la colonie de vacances que du bagne de cayenne.
Jusqu'au jour où...arrive un homme d'état en visite, flanqué de ses 2 gardes du corps zelés et particulièrement abrutis, il va ruiner le fragile équilibre du pénitencier avec les conséquences qui s'en suivent.
Ma journée du 31 Janvier
Le radio réveil sonne à 7h55, au début de l'année je l'avais programmé à 7h 50, maintenant je suis plus à la cool . Pourtant je reste un peu au lit, un train passe, ça vibre un peu. Après m'ètre habillé, je fais chauffer de l'eau pour le thé et je part me raser, ce qui n'est pas une bonne idée parceque je stresse du moment où l'eau se mettra à bouillir et la théière à siffler.
Je quitte l'appartement à 8h 43 environs. Sur le chemin, je mange une mandarine à laquelle j'attribue la note de 16 sur 20 parceque manque un peu de sucre et trop de peau blanche. Je pense déjà avoir mangé des 18 étant petit.
J'arrive un peu en retard pour le cours d'informatique mais le prof n'est pas encore là, j'en profite pour ouvrir l'envelloppe et regarder ma facture de téléphone du mois.
A 12h 59 environs, je quitte la salle de cours et je vais manger à la cantine avec Nuno et Margueritte. nous buvons du coca avec nos brochettes.
Après manger nous repartons à l'atelier d'animation où il y a une réunion sur le déroulement de ce début d'année, je n'écoute pas car ma dent me fait trop mal, Jérome me fait remarquer que ma joue gauche est beaucoup plus grosse que la moyenne des joues.
Je rentre chez moi et je dessine environ 1h 35.
A 17h 40 il me semble, je repart à l'école pour regarder un film de Gus Van Sant qui est projetté à l'auditoire Stynen. Le film me plait beaucoup malgrès le fait que de ma place il est quasiment impossible de lire les sous-titres.
Je rentre à l'appartement en courant sur une partie du trajet, les gens me fixent quand je les croise, je pense que mes cheveux sautent un peu ce qui doit donner l'effet un peu stupide d'un bol à l'envers.
Je quitte l'appartement à 8h 43 environs. Sur le chemin, je mange une mandarine à laquelle j'attribue la note de 16 sur 20 parceque manque un peu de sucre et trop de peau blanche. Je pense déjà avoir mangé des 18 étant petit.
J'arrive un peu en retard pour le cours d'informatique mais le prof n'est pas encore là, j'en profite pour ouvrir l'envelloppe et regarder ma facture de téléphone du mois.
A 12h 59 environs, je quitte la salle de cours et je vais manger à la cantine avec Nuno et Margueritte. nous buvons du coca avec nos brochettes.
Après manger nous repartons à l'atelier d'animation où il y a une réunion sur le déroulement de ce début d'année, je n'écoute pas car ma dent me fait trop mal, Jérome me fait remarquer que ma joue gauche est beaucoup plus grosse que la moyenne des joues.
Je rentre chez moi et je dessine environ 1h 35.
A 17h 40 il me semble, je repart à l'école pour regarder un film de Gus Van Sant qui est projetté à l'auditoire Stynen. Le film me plait beaucoup malgrès le fait que de ma place il est quasiment impossible de lire les sous-titres.
Je rentre à l'appartement en courant sur une partie du trajet, les gens me fixent quand je les croise, je pense que mes cheveux sautent un peu ce qui doit donner l'effet un peu stupide d'un bol à l'envers.
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